Au début, tout au début, il y a le toucher, celui de la mère à son enfant, puis ce toucher se perd.
Parfois il est remplacé par celui d’un semblable ou d’un autre être; et parfois il se perd à nouveau.
Sans toucher, un corps se meurt, une âme s’éteint
Quand quelqu’un désire la santé, il faut d’abord lui demander s’il est prêt à supprimer les causes de sa maladie. Alors seulement est-il possible de l’aider.
Hippocrate